CONCOUR DE RP N°1

Bonjour à tous!

Voici les différents textes des Rpistes, je vais vous demandez à tous de voter (et de dire pourquoi vous votez pour ce texte) pour l'un d'entre eux. La personne qui aura gagner aura le privilège de raconter la suite de son "enlèvement" dans un topique spécial pour SON histoire. Voter pour l’histoire qui vous à le plus embarquer et ou vous aimeriez savoir la suite ! (j’ai mis en rouge les fautes d’hortographes, merci de les prendre en considération, c’est la première fois mais la prochaine fois elles serons pénalisées) et remportera 10 points pour sa maison !

Dans l’ordre que je l’ai ai eu :

Hermione Granger:

Je vous plante le décors : New York, au cœur des beaux quartiers. Ensuite, une jeune fille : Chloé Warren, issue d’une famille de la haute bourgeoisie. Adepte des fringues et de la mode Chloé a posée pour plusieurs magazines et fait énormément de défilée. On peut la qualifier de Mannequin. Mais elle aime aussi beaucoup le sport, en particulier les sports de combats. elle aime se défouler et se surpasser. Chloé a 18 ans, actuellement étudiante. Elle n’a pas besoin de travailler pour gagner un peu d’argent de poche, vu les quantités d’argent qu’elle possède, on peut donc dire que la vie est belle pour elle. Du moins pour le moment…

En effet un soir de déchéance, comme a son habitude, Chloé était allée se de fouler en boîte de nuit avec bon nombre de ses amis, les verres s'étaient enchaînés, les danses avec de parfaits inconnus aussi. Un mal de tête profond avait atteint la jeune fille au milieu de la soirée, ses tempes battaient à une allure incertaine. A demi allongée sur un canapé, sur la terrasse de la discothèque, une clope a la main, elle tirait tant bien que mal sur sa cigarette, attendant que le temps passe. Elle sortit son portable, 4h37 du matin, c'est tout ?

La nuit lui semblait passer au ralentit, sensation très désagréable en soit, elle n'en pouvait plus, elle se sentait vraiment très mal. Elle se leva et pénétra dans la boite, elle ferma les yeux sous les lumières violentes qui l’aveuglaient, le son semblait l'entourer de tout part, un peu comme une embuscade. Elle chercha tant bien que mal ses amis, mais aucuns visages familiers, aucunes silhouette suspectes de la rassurer, oui, car en ce moment précis, Chloé se mit a paniquer. Pourquoi? Elle n'en savait rien. Des frissons l'envahirent doucement, elle se glaçait sur place, presque incapable de bouger, une sensation très bizarre, presque prémonitoire.

Un flash rouge pétant la réveilla brusquement, elle regarda autours d'elle, elle avait repris conscience de tout ce qui l'entourait, mais elle avait le souvenir d'un homme, effrayant, elle resta un moment immobile et ce fut comme une décharge électrique, elle se précipita vers les vestiaires, récupéra brusquement son sac, et partit seule. Elle se retrouva dans la petite rue sombre qui devait mener jusqu'a chez elle. Elle aperçut un taxi, elle voulu s'approcher de la rue mais un homme en noir se mit en travers de son chemin. Elle voulu continuer sa route mais l’homme restait immobile, une petite chose luisante brillait dans sa poche, il s’avança vers elle, menaçant. La jeune fille ne réfléchit plus, adepte des sport de combat, elle lui décrocha un coup de pied et s'enfuit en courant sans prendre la peine de se retourner. Pour elle, plus rien n'avait d'importance, il fallait qu'elle court le plus vite possible, cette homme éveiller un sentiment de vulnérabilité intense et une peur hors limite. Chloé se heurta a un autre homme en face d'elle, surprise elle s'effondra a terre, a peine eu-t-elle relevé les yeux, qu'elle aperçut une dizaine, une vingtaine d'homme en noir se former autours d'elle. Son cœur battait a une vitesse phénoménale, elle le sentait battre aux bout de ses doigts, de ses tempes brûlante. Elle ne put même pas crier. Elle s'évanouie...

Chloé se réveilla doucement allongée sur le carrelage froid d'une petite pièce sombre totalement inconnue a ses yeux. Elle se releva en observant la salle ou elle se trouvait. Le souvenir d'une nuit folle lui traversa alors l'esprit, tout devient plus clair, la boîte de nuit, l'alcool, sa fuite dans une ruelle, et tout ces hommes en noir qui l'avait encercler. Elle eu un petit sursaut suivit d'une rafale de frisson. Qu’es qu'elle faisait ici ? Es que c'était les hommes en noir qu'ils l'avaient emmené ici ? Non, c'était complètement absurde, pour quel raison? Chloé aperçut une petite porte en face d'elle, une seule solution s'offrait donc à elle. Courir et partir. S'enfuir de ce lieu obscure et glauque. Elle se dirigea alors vers cette seule source d'espoir mais quelques chose de froid et de dur la retint violemment, des chaînes l'empêchait d'avancer plus loin.
Cette fois c'était trop, qu’es qu'elle foutait ici ? Pourquoi? et pour combien de temps ? Chloé respira un moment et essaya de garder son calme, c'est qu'on pouvait vite péter un câble ici, aucune source de lumière, rien du tout, c'était comme si elle était en enfer. Mais Chloé ne perdit pas son sang froid, elle savait très bien que se laissait aller entraîner a sa propre destruction, elle réunit toute la force qu'elle avait et tenta de se décrocher de ses chaînes, hélas sans résultat. Elle regarda sa robe déchiré et ses talons sur lesquelles elle vacillait, elle n'arrivait pas a réaliser qu'elle était séquestré dans une sorte de cave pourris, mais elle ne pouvait rien faire. Elle resta debout immobile en attendant que quelqu'un vienne, et là elle agirai, et ce pauvre imbécile qui l'avait emmener ici allait très cruellement payé de l'avoir fait...

Lyle Reevers :

Samedi 15 Décembre 2007, 12:30. Nous sommes à Roubaix, une assez grande ville, assez connu en France, mais pas forcèment pour de bonnes raisons ; Une ville de mauvaise réputation. Le soleil brille haut, haut, très haut dans le ciel, mais il fait froid et Suzie a enfoncé ses mains bien au fond de ses poches, pour mieux les réchauffer, car même avec ses gants, elle a l'impression désagréable que ses doigts sont sur le point de se briser, comme des glaçons. Ses cheveux bruns et ondulés volétent au vent, et elle a le nez et les joues rosées. Le froid a envahit tout son corp, chaque parcelle de sa peau, chaque pores hurlent leur douleur, mais son coeur, lui reste bien au chaud, enfouie sous une couche d'amour dont un certain Louis l'a enveloppé avant qu'elle ne quitte les cours... Autour d'elle, les gens se pressent : Vite ! Arriver dans la chaleur du Métro ! Vite, rejoindre sa famille, au coin du feu ! Vite ! Bruler sous les foudres de son patron... Suzie marche lentement, heureuse. Elle ne prend pas le temps de regarder où ses pieds se posent, où ses pas la mènent. Elle ne se rend pas compte qu'elle prend une rue moins peuplée, moins bien fréquentée. Une rue avec des porches d'où soudainement surgit un bras, qui l'accrochent sauvagement et l'attire à l'intérieur.

Suzie - Mais... ?!

Surprise, oui, au début, son insoucience d'adolescente encore un petit peu enfant au fond d'elle fait qu'elle éspère que c'est encore un taré innofensif du quartier dont elle pourra se débarasser d'une façon ou d'une autre dans très peu de temps.

Inconnu - Ta geule !

Une autre main se plaque cette fois-ci sur sa bouche, pour l'empêcher d'émettre un autre son. Se rendant compte que, non, ce n'était pas un simple taré innofensif du quartier, ses yeux se sont exorbités par la peur et la surprise, et ainsi elle ne voit que trop bien la maison abandonnée dans laquelle l'homme, âgé apparemment d'une quarantaine d'année, l'entraîne. Elle essaie de mordre sa main pour qu'il la lâche, pour qu'elle puisse hurler, pour qu'on l'entende et qu'on vienne l'aider, mais elle n'y arrive pas ; Malgré son allure maladive, l'autre semble posséder une force hors-norme. Elle se laisse donc faire, en pensant que si elle le faisait, il lui ferait moins de mal, il la relacherait peut-être plus tôt, ou... Peut-être tout court. Son coeur bat la chamade et elle sent des larmes chaudes et salées couler le long de son visage, s'infiltrer entre les doigts de son ravisseur et atterrir sur ses lèvres fines. Maintenant elle n'a plus froid, un liquide chaud et dégoûtant vient de couler entre ses deux jambes : Elle n'a pas réussi à s'en empêcher, et en plus de tout, cela lui donne envie de vomir. Cela ne sembla pas déranger le bonhomme, à croire même qu'il ne s'en était pas rendu compte... De toutes manières, se souciait-il d'elle ? Sûrement que non.

Il lui fit traverser un long couloir étroit, avec un vieux papier peint à moitié arraché aux murs, des caisses et des cartons qui traînent un peu partout, puis ouvrit une porte qui, il fût un temps, devait être blanche. Il la lacha, et profitant de sa surprise, il lui balança un coup de pied dans le bas du dos. Elle s'aperçut que cette porte ne menait pas à une pièce comme elle s'y attendait, mais à une cave humide et évidemment fermée. Elle dévala les escaliers avant de s'étaler sur le sol de cette dernière. Arrivée là, elle pensa - Ne me demandez pas pourquoi - que ç'aurait été beau de penser à Louis, à cet instant ; Une preuve d'amour inconditionnel, quelque chose qui prouverait qu'il était l'homme de sa vie, celui qui la tenait en vie, sa raison de continuer, d'être debout, de continuer, toujours, de marcher. Mais non, durant tout le temps de sa descente, elle n'a pensé qu'à sa chute, et à ce qui suivrait... !Qu'est-ce-que ce sera ? Horrible, à n'en pas douter.

Taylor Winslow :

Une jeune fille d’une vingtaine d’années descendit à la volée les quelques marches qui séparaient son université du parking où se trouvait sa voiture. La jeune femme noua ses cheveux blonds en une queue de cheval et mit sa main dans son sac à main pour en sortir ses clefs de voiture.
Elle s’installa au volant et soupira longuement, laissant reposer sa tête contre l’appui-tête du siège. Elle ferma les yeux un instant, fatiguée après une dure journée comme celle-ci. Il faisait presque nuit et elle avait du rester plus longtemps à la fac pour étudier.
La jeune femme démarra enfin, en prenant garde qu’aucun véhicule n’arrive. Elle recula, et entendit subitement des crissements de pneus, et bientôt une violente secousse… Elle sortit immédiatement du véhicule, pour constater l’étendue des dégâts. Elle aurait pourtant juré qu’il n’y avait personne, mais à l’évidence elle s’était bien trompée. Un homme d’une quarantaine d’années sortit de sa camionnette d’un état pitoyable. C’était le genre de type qu’on aurait d’avantage imaginait sur une moto, les bras couverts de tatouages. Il n’inspirait pas confiance, et avait les traits crispés par la colère.

-Peut on savoir ce que vous foutiez sur le milieu de la route ? Vous allez me rembourser tout ça, ma jolie.

La jeune fille sentit un vent de panique s’insinuer en elle. Elle n’avait pas les moyens de souscrire une assurance, comment allait elle payer les réparations ? Elle tenta vainement de minimiser la situation.

-Je suis sûre qu’on peut s’arranger, monsieur… Je n’ai pas les moyens de vous rembourser, je suis désolée…

Cette phrase eut l’effet d’une bombe sur l’homme, dont le teint vira au violet. Il serra les poings, se retenant probablement de frapper la jeune fille. Celle-ci sentait les larmes couler le long de ses joues. Elle ferma les yeux, attendant l’impact de ses poings contre son visage délicat. Mais rien ne vint. Elle les rouvrit alors, se sentant quelque peu ridicule. L’homme s’était dirigé vers son véhicule, et était en train d’ouvrir la porte sur le côté. La jeune fille aperçut une couverture sale sur le sol, du bric à brac un peu partout et divers outils de mécanique éparpillés dans une petite caisse. Elle se demanda où il voulait en venir quand elle aperçu ce sourire malsain qui se dessinait sur son visage. D’une voix roque, déformée par un petit rire, il se tourna vers elle, lui désignant la couverture du doigt.

-Tu as raison, je suis certain qu’on peut s’arranger…

Il fit alors un pas en avant. La jeune fille poussa un cri, et ouvrit son coffre. De là, elle attrapa le cric destiné à changer ses pneus, et en assena un coup violent sur son agresseur. Celui-ci s’effondra au sol, inconscient. L’avait elle tué ? Non, l’homme respirait encore. Mais que ferait il à son réveil ? Il irait voir la police, la retrouverait, lui ferait payer… Les pires scénarios se dessinaient dans sa tête, si bien qu’elle ne vit qu’une solution : le faire disparaître. Elle mit plusieurs minutes à le monter dans son fourgon. Cela fait, elle enfonça l’accélérateur et démarra en trombes. Elle se dirigea vers le port de pêche, désert à cette heure. Son père possédait un local où elle pourrait emmener son agresseur. A cette pensée, elle frémit, il n’était plus l’agresseur, mais la victime. Une victime enrobée qu’il était difficile de déplacer, se dit elle en le traînant jusque dans le petit bureau à l’intérieur de l’entrepôt.

Elle l’installa sur une chaise, avec une corde bien solide. Une minute plus tard, elle jetait sa camionnette dans le port. De retour dans l’entrepôt, elle ferma la grande porte derrière elle, se retrouvant dans une obscurité quasi totale. . Elle se posait désormais une terrible question : que faire de lui ? Se sentait elle capable de passer de l'enlevement au meurtre? Elle était allée trop loin. Mais maintenant?

Drago Malefoy :

J'entendis alors un cris percant retentir dans les ténêbres. Je me retournai vivement, les sens en alerte. Je me mis en position de défense, comme me l'avait apprit mon Maître. Je sentais de la sueur chaude me perler sur les tempes. Je ne sus pas tout de suite si elles étaient dues aux efforts que j'avais prodigués lors du combat, à ma peur d'être tombé dans un piège. En tout cas, ce qui était certain, c'est qu'elle coulait. Coulait en abondence. Lentement, prudement, je dirigeai ma main tremblante vers mon visage et tâta cette sueur étrangement plus poisseuse qu'habituellement. Je rabaissai difficilement mon bras et découvrit sans réelle surprise qu'il ne s'agissait non pas de sueur mais de sang. Je me remis directement en garde, juste le temps de tourner les talons et de brandir mon poignard, une main sur le manche, l'autre contre la lame. Je vis alors le coup venir. J'esquivai sans difficulté le balayage de mon adversaire et envoya mon genoux coeuillir sa machoire qui, dans un craquement !équerent, cassa. Il s'écroula comme une masse, sans conaissance et je me mis à courir en direction du cris que j'avais entendu.

- Tu ne bougeras pas d'ici !

Je m'arreta et me retourna lentement. Je fis face, les poingts serrés sur mes poignards prèts à passer à l'attaque, à Azdhar le Démon. La terreur des deux Mondes. Ou plutôt, la terreur du Monde Inconnu puisque le Monde Connu n'avait pas conscience de la menace qu'il faisait planer sur eux... Je fronça les sourcils. Mes cheveux noirs, mi-longs, que le vent faisait voleter autour de ma tête me donnait l'air dur. Je le fixai dans les yeux de mes iris bleu ciel. Je me mis en garde, une lueur farouche et déterminée brillant dans mes yeux. Il ria. D'un rire mauvais et dénué de joie.

- Tu crois vraiment, jeune fou, que tu vas me faire peur ? Ce n'est pas en me faisant les gros oeils que tu vas m'impressionner !

Pour toute réponse, je m'élançai. Les bras tendus derrière moi. Il s'était préparé à cette attaque et lorsqu'il voulut me contrer, je poussai sur mes jambes et bondit derrière lui en faisant une pirouette dans les air et en abatant mes souples bottines de cuir noir en direction de sa nuque. Il m'esquiva sans trop de difficulté mais j'étais bien décidé à me venger. Je repartis directement à l'attaque et chaque coup que je lui portait, il l'évitait avec une facilité assez déconcertante.

- Bas-toi comme un homme au lieu d'esquiver mes attaques, lâche!
- Me battre comme un homme, dis-tu ? Mais Qadwan, je ne suis pas un homme !
- Qu... Quoi ? Pas un homme ? Mais qu'es-tu alors !

Azdhar le Démon ne répondit pas et se contenta d'afficher un sourire mauvais et pervers. Que cette chose comptait-il faire d'Oriela ? Et ce sourire... Cela ne présageait rien de bon ! Je devais empêcher de mettre ses intentions à execution. J'esquissai un geste discret de la main droite que mon adversaire toujours encapuchoné ne semblait pas avoir perçu. J'avançai rapidement sa jambe gauche et projeta ma main droite dont les phalanges étaient devenues blanchâtres. Une sorte de boule bleue translucide flottait paresseusement entre mes doigts. Le Démon pâlit et esquissa un mouvement de recul.

- Non ! Non, tu ne peux pas, tu n'en a pas le droit ! Tu ne devrais pas arriver à faire ça !
- Chez moi, on a un dicton: Ils ne savaient pas que cela était impossible, alors ils l'on fait !

Sur le coup, la chose non-humaine ne comprit pas et fronça les sourcils. Cette seconde oubliée lui fut fatale. Je m'étais déjà élancé. J'arrivai en piqué sur la silouhette sous la cape et lui enfonca la sphère couleur cyan dans le visage. Azdhar le démon hurla. Hurla à s'en fendre l'âme. Il tomba à genoux, et pencha la tête vers l'arrière, sous la douleur. Quand à moi, j'étais penché vers l'avant, à cause de la fatigue. J'halletais tandis que le Démon s'était écroulé comme une poupée de chiffon, lentement et en proférant une dernière malédiction qui s'était tue avec lui.

Je me redressai, ses iris était devenus ternes. Je !se mis à courir. A courir difficilement. C'était trop pour moi, je n'avais que 17 ans, mais je devais le faire. Je ne me faisais pas d'illusions, c'était ma dernière chance de voir le Monde Inconnu, celui où j'ai grandis, se rétablir. Je dessendis un escaliers, contre le mur et me retrouvai dans une pièce non-éclairée. Je respirais fort et n'importe qui, qui aurait là, m'aurait entendu. Ce fut apparement le cas puisque j'entendis alors une voix de fille, assez faible d'après le timbre de sa voix, murmura:

- Qui est là ?
- Oriela ! C'est toi ?
- Qadwan ! Attent...

J'eu juste le temps de me retourner, horrifié à l'idée qu'un sorcier ai put me retrouver. J'ouvris la bouche de surprise et hoqueta. Je m'étais fais prendre. Et en beauté ! Je baissa légèrement les yeux et pus voir la flaque rouge qui se formait à mes pieds, ainsi que le manche d'un poignard s'enfoncer dans ma poitrine. Je n'avais rien vu venir... Avec mes dernières forces mais difficilement, je tirai sur le poignard et le sortit de mon corp pour le lançer sur mon agresseur qui n'avait pas prévu que je pourrais riposter. Nous sommes tomber en même temps. J'ai juste eu le temps de murmurer.

- Sauve-toi, il n'y a plus de gardes... Je t'aime...

Oriela s'approcha de moi, le visage empli de larmes de rage, de tristesse et déposa ses lèvres sur les miennes. Doucement. Comme pour ne pas me faire mal. Elle releva ses mains dans sa nuque et écrocha son pendentif qu'elle placa entre des doigts. Je savais à quel point ce collier était important pour elle. C'était le seul héritage de son père... Elle me serra la main et sortit en courrant et en sanglotant. Les tenêbres m'ont alors envahit. Je n'avais plus conscience de mon corp ni de mes pensées. Je m'éteignais. Je m'éteignais en silence...

attention aux fautes..

Voila! Voter pour connaître la suite de celui que vous voulez, pour le style, la syntaxe ect.. ^^

Je savais pas que j'étais si nule que ça en orthographe Shocked

Tu n'est pas nul chOu !! il faut juste "se relire"

Bonne lecture'

Moui... ^^'

Hermione toi aussi ily'a quelques fautes :p....des "s" en moins XD....

Bon j'ai voter pour toi malgré tout car je trouve que situer le texte comme tu l'a fait etait exceptionnel....

L'histoire de Drago etait pas mal mais beacoup de repetition en "je" ^^..

Taylor son histoire etait très bien aussi et j'ai hesiter un moment de voter pour elle...Mais je suis pas en forme et je ne m'y connai pas assez :s....

C'est possible, n'hésiter pas à me le dire ^^

Effectivement, il y a quelques fautes un peu flagrantes dans ton RPs, mais après tout je ne suis pas de ceux qui n'en font jamais, apparement xD

Sinon, j'ai voté pour taylor, car je trouve que c'est sincérement le meilleur, on a un retournement de situation très intéressant, et il est plutôt pas mal écrit du tout =DD